« Ainsi, au XXe siècle, le personnage romanesque peut offrir une « psychologie des profondeurs » (Raimond) qui le rapproche davantage de la vie en offrant une représentation tourmentée, complexe et opaque de l’être. Les personnages proustien, gidien ou célinien rendent magnifiquement compte de cette complexité. Formellement, le monologue intérieur (ou le flux de conscience) qui supplante les formes du discours indirect et relègue au second plan le narrateur omniscient traduit la même plongée dans les méandres de la conscience. »
-" Tu es vraiment sûre que les programmes de Première peuvent nous aider à y voir plus clair? Franchement, Proust, Gide et Céline en maternelle?!?"